Amis du Musée du Grand Pressigny

Il faut l’observer en détail pour constater qu’elle a été dérochée et séparée de son bloc d’origine, puis déplacée sur quelques dizaines de centimètres.

De ce fait elle se positionne de façon parfaite pour que, neuf mois après que l’ombre du grand menhir eut « fécondé »l’ouverture féminine des deux pierres du quadrilatère, cette même ombre vienne se plaquer sur cette pierre !

La coïncidence de l’ombre qui passe, en neuf mois, des pierres féminines du quadrilatère à cette pierre non dressée, couchée au sol est trop surprenante pour ne pas être source d’interrogations.

De plus, par sa forme générale, elle représente de façon très suggestive le ventre d’une femme enceinte. Et cette représentation est par ailleurs renforcée par deux rainures creusée de la main de l’homme de part et d’autre du « ventre ».

Est-ce pour accentuer l’effet ventre ? Pour bien accentuer la marque humaine et la représentativité de ce bloc ?

Pour notre guide il y a, entre le menhir, sexe masculin, les deux pierres du quadrilatère, sexe féminin et cette pierre « grosse » une alliance des principes masculin et féminin qui engendrent le troisième principe, fruit des deux premiers.

Le tout étant réalisé par une disposition fort étonnante de ces pierres et concrètement vérifiable chaque année du fait des mouvements de la terre par rapport au soleil.

Il faut continuer l’investigation des lieux pour trouver un peu plus loin une autre pierre cubique qui se trouve exactement dans l’axe du grand menhir et de la pierre du « ventre ».

Sa position permet de vérifier, au centimètre près, les unités de mesure en yards mégalithiques entre cette pierre et l’angle du quadrilatère. (Le yard mégalithique a été déterminé par le professeur THOM, ingénieur mathématicien de l’université de Cambridge et ses travaux, rédigés à partir des relevés effectués sur les sites mégalithiques britanniques, soumis à ses paires, ont été reconnus comme scientifiquement exacts).La pluie, bien trop forte, nous a privés de la possibilité que nous proposait notre guide, de vérifier les mesures en unités de Yard mégalithique sur le site du Manio.

Toutes les mesures effectuées par notre guide sur les deux quadrilatères de Crucuno et du Manio coïncident exactement avec cette unité de mesure et permet d’allier la structure 3/4/5 (qui permet la construction de rectangles parfaits) et le nombre d’Or, en une combinaison exacte, révélée par la position des pierres établies en ces deux quadrilatères.

Révélatrices du haut niveau de connaissance des mouvements astronomiques de ces peuples et de leur maîtrise à les représenter sur terre en y incluant le cycle de la vie des hommes on reste confondu par tant de concordances.

Notre guide s’est abstenu de toute affirmations et interprétations qui ne s’appuie sur des observations solaires ou des mesures concrètes et vérifiables.Il nous a proposé sa lecture du site du Manio pour lequel il a rédigé un livre en cours d’édition.

Plus généralement il propose de lire les sites mégalithiques dans leur ensemble en les situant au sein de la sphère céleste et non pas de façon fragmentaire, chaque élément étant pris isolément, comme on a eu l’habitude, en France tout particulièrement, de le faire jusqu’à présent.

Par curiosité une rapide consultation d'internet au sujet du yard mégalithique, nous donne: « La géométrie mégalithique: l’argumentation scientifique à l’appui de l’existence de cette science qui semble née de l’imagination d’auteurs contemporains n’a pas fait l’objet de publications dans des revues à comité de lecture ni dans des colloques rassemblant des spécialistes des disciplines concernées. Ces spéculations n’ont à l’heure actuelle suscité aucun intérêt ni reçu aucun appui de la part de la communauté scientifique. »(source anonyme)

Voilà qui est bien abruptement dit !

Respectons ces avis d'auteurs inconnus.

Mais il est toutefois possible de se poser la question « pourquoi ces scientifiques, auteurs de ces lignes, ne viennent-ils pas vérifier lors des solstices et équinoxes annuels les preuves apportées par les ombres et les lumières solaires déposées en ces lieux mégalithiques de Bretagne » ?

Beaucoup de personnes répondent à l’invitation proposée par Howard de venir constater, aux solstices, la véracité de ses constations solaires.

Nous y retournerons bien volontiers satisfaire nos interrogations!

Clotilde Bornhauser. Michel Geslin
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Mais il y a encore des coïncidences à découvrir entre toutes ces pierres dressées sur ce site par les civilisations préhistoriques .

L’ouverture entre ces deux pierres dressées du quadrilatère étant considérée comme représentant le sexe féminin sa symbolique va se confirmer au cours de la visite.

La complémentarité de ces deux pierres et du menhir étant admise par Howard Crowhurst, il en a déduit qu’il pouvait y avoir d’autres « pierres-relai » aux alentours.

Cela s’est trouvé vérifié après un défrichement des fourrés à l’entour du quadrilatère. (Si le site est classé Monument historique il est propriété privée et le défrichement a été autorisé par le propriétaire)

A quelques dizaines de mètres du quadrilatère une nouvelle grosse pierre est couchée sur le sol.

Il faut l’observer en détail pour constater qu’elle a été dérochée et séparée de son bloc d’origine, puis déplacée sur quelques dizaines de centimètres.

De ce fait elle se positionne de façon parfaite pour que, neuf mois après que l’ombre du grand menhir eut « fécondé »l’ouverture féminine des deux pierres du quadrilatère, cette même ombre vienne se plaquer sur cette pierre !

La coïncidence de l’ombre qui passe, en neuf mois, des pierres féminines du quadrilatère à cette pierre non dressée, couchée au sol est trop surprenante pour ne pas être source d’interrogations.

De plus, par sa forme générale, elle représente de façon très suggestive le ventre d’une femme enceinte. Et cette représentation est par ailleurs renforcée par deux rainures creusée de la main de l’homme de part et d’autre du « ventre ».

Est-ce pour accentuer l’effet ventre ? Pour bien accentuer la marque humaine et la représentativité de ce bloc ?

Pour notre guide il y a, entre le menhir, sexe masculin, les deux pierres du quadrilatère, sexe féminin et cette pierre « grosse » une alliance des principes masculin et féminin qui engendrent le troisième principe, fruit des deux premiers.

Le tout étant réalisé par une disposition fort étonnante de ces pierres et concrètement vérifiable chaque année du fait des mouvements de la terre par rapport au soleil.

Il faut continuer l’investigation des lieux pour trouver un peu plus loin une autre pierre cubique qui se trouve exactement dans l’axe du grand menhir et de la pierre du « ventre ».

Sa position permet de vérifier, au centimètre près, les unités de mesure en yards mégalithiques entre cette pierre et l’angle du quadrilatère. (Le yard mégalithique a été déterminé par le professeur THOM, ingénieur mathématicien de l’université de Cambridge et ses travaux, rédigés à partir des relevés effectués sur les sites mégalithiques britanniques, soumis à ses paires, ont été reconnus comme scientifiquement exacts). La pluie, bien trop forte, nous a privés de la possibilité que nous proposait notre guide, de vérifier les mesures en unités de Yard mégalithique sur le site du Manio.

Toutes les mesures effectuées par notre guide sur les deux quadrilatères de Crucuno et du Manio coïncident exactement avec cette unité de mesure et permet d’allier la structure 3/4/5 (qui permet la construction de rectangles parfaits) et le nombre d’Or, en une combinaison exacte, révélée par la position des pierres établies en ces deux quadrilatères.

Révélatrices du haut niveau de connaissance des mouvements astronomiques de ces peuples et de leur maîtrise à les représenter sur terre en y incluant le cycle de la vie des hommes on reste confondu par tant de concordances.

Notre guide s’est abstenu de toute affirmation et interprétation qui ne s’appuient sur des observations solaires ou des mesures concrètes et vérifiables.Il nous a proposé sa lecture du site du Manio, pour lequel il a rédigé un livre, en cours d’édition.

Plus généralement, il propose de lire les sites mégalithiques dans leur ensemble, en les situant au sein de la sphère céleste et non pas de façon fragmentaire, chaque élément étant pris isolément, comme on a eu l’habitude, en France tout particulièrement, de le faire jusqu’à présent.

Par curiosité une rapide consultation d'internet au sujet du yard mégalithique, nous donne: « La géométrie mégalithique: l’argumentation scientifique à l’appui de l’existence de cette science qui semble née de l’imagination d’auteurs contemporains n’a pas fait l’objet de publications dans des revues à comité de lecture ni dans des colloques rassemblant des spécialistes des disciplines concernées. Ces spéculations n’ont à l’heure actuelle suscité aucun intérêt ni reçu aucun appui de la part de la communauté scientifique. »(source anonyme)

Voilà qui est bien abruptement dit !

Respectons ces avis d'auteurs inconnus.

Mais il est toutefois possible de se poser la question « pourquoi ces scientifiques, auteurs de ces lignes, ne viennent-ils pas vérifier lors des solstices et équinoxes annuels les preuves apportées par les ombres et les lumières solaires déposées en ces lieux mégalithiques de Bretagne » ?

Beaucoup de personnes répondent à l’invitation proposée par Howard de venir constater, aux solstices, la véracité de ses constations solaires.

Nous y retournerons bien volontiers satisfaire nos interrogations!

Clotilde Bornhauser. Michel Geslin

15 septembre 2012 :

Pour répondre à l’invitation de la mairie du Grand-Pressigny qui proposait de réaliser un forum des associations animant sa commune, AMGP a réalisé une exposition protégée dans un double stand.

Les grilles de l’association ont permis d’installer une série de panneaux évoquant son historique depuis 1935, ses statuts, ses activités. Quelques beaux objets préhistoriques tirés des collections du président assuraient la curiosité des visiteurs. A côté, deux montages vidéos permettaient de voir vivre les peuplades Aborigènes d’Australie et divers documents vidéos prêtés par l’INRP : des animations sur les différentes facettes du métier d’archéologue, les études et les professions qui permettent d’accéder aux métiers en liaison avec l’archéologie, la taille du silex et l’obtention de lames par Jacques PELEGRIN, étaient consultables à volonté.

Les grilles présentées lors de ce forum des associations seront réinstallées dans la vitrine du local AMGP avec un éclairage nocturne.

AMGP adresse ses chaleureux remerciements à l’INRAP Centre/Ile de France pour tous les documents mis à sa disposition et à celle du public ; ils ont permis que cette présentation soit très complète et attrayante.

30 juin 2012 :

L’après-midi de l’inauguration de notre local le groupe des Amis s’est déplacé vers les musées voisins de Preuilly- sur- Claise, Bossay – sur- Claise et Martizay.

A Preuilly Bertrand WALTER a expliqué le musée, son architecture, son historique et son contenu très diversifié. Chacun de nous a pu y trouver l’époque et les objets usuels caractéristiques qui l’intéressent et tous, nous avons particulièrement admiré la très belle urne funéraire romaine qui y est présentée. (Cf photo ci-contre)

A Bossay c’est le président de l’association locale, Monsieur Raoul GUICHANE qui a fait la présentation du musée. Certaines des anciennes vitrines du musée du Grand-Pressigny y ont été réinstallées avec bonheur et cela permet une excellente mise en valeur des objets préhistoriques trouvés sur les environs. Une collection de bouteilles (diverses époques, formes et fonctions) complète l’exposition.

A Martizay la guide locale n’avait pas beaucoup de monde à conduire pour cause d’heure tardive et perte du réseau téléphonique. Enfin ceux d’entre nous qui ont pu bénéficier de cette visite ont apprécié les reproductions des parements décoratifs réalisées d’après quelques fragments d’enduit trouvés en fouille et illustrant la richesse des maisons romaines de cette région de l’Indre.

2012

Visite approfondie des grottes de Font-de-Gaume, Combarelles, de la frise sculptée du Cap-Blanc et du Musée des Eyzies :

Les guides conférenciers par leurs connaissances et l’émotion des lieux ont captivé notre groupe.

La visite du Musée National des Eyzies, sous la conduite de Madame Gizardin, conférencière enthousiaste, nous a plongés dans les lointaines périodes de la préhistoire du Périgord.

La visite de la maison forte de Reignac, haut-lieu d’occupation humaine depuis les temps préhistoriques jusqu’à la période de la Renaissance fut très intéressante. A noter que la salle d’exposition des instruments de torture a provoqué un certain malaise.

Un épisode gastronomique bien apprécié dans l’auberge Layotte, à Tursac ( 05 06 95 91 53), nous pouvons la recommander, a terminé une journée de façon sympathique.

Des visites impromptues, autorisées par la bienveillante attention des propriétaires ont apporté au groupe un supplément de satisfaction lors de ce séjour. C’est ainsi que nous avons pu découvrir :

-La Grotte de Maxange, (05 53 23 42 80) avec ses extraordinaires concrétions en excentriques et fistuleuses

- La Grotte de Bernifal (06 74 96 30 43) grotte appartenant à une famille d’agriculteurs. La visite effectuée sous la férule de son propriétaire vaut d'être vécue : il a refusé tout aménagement de sa grotte. Donc la visite s'effectue, avec pour tout éclairage un phare de 2cv alimenté par une batterie de moto qu'il porte à l'épaule. Un rayon laser produit par un niveau de maçon lui permet de bien présenter les peintures, gravures et sculptures de sa grotte. Il a voulu conserver l’ambiance de cette grotte telle que les auteurs de ces œuvres chargées d'émotion l’ont connue. Cette visite, les explications données par cet heureux propriétaire, son accent et ses expressions bien personnelles valent vraiment le déplacement.

2011:

AMGP a organisé la visite du Musée de l'Archéologie Nationale de Saint-Germain-en-Laye pour l'exposition temporaire "Du bronze et d'or"

Visite effectuée sous la conduite de son concepteur, Alain Villes, conservateur au MAN et par ailleurs membre du bureau AMGP.

2009

Première sortie découverte :

Visite du site et du musée de Bougon à l'occasion de l'exposition temporaire consacrée au matériel préhistorique du dolmen de Puyraveau.

Très belle exposition réalisée avec le concours de Vincent Ard.

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